... Qui veulent faire " votre" bonheur ! ...qui décident de " votre " régime de retraite ! ... qui définissent " votre " pénibilité au travail à leur manière ...
Bref , la voilà " votre " représentation nationale " ... dans toute sa spendeur ! .... Populisme ? ... NON ! juste la réalité ! .. et c'est franchement à pleurer ! ......( précision : il a 74 ans , le penseur pour vous ...et il ne lui vient même pas à l'idée de prendre la sienne ...de retraite ...alors comment voulez vous que voter 62 ans pour vous , çà puisse le toucher , l'interpeler ) ...!... Et dire qu'ils jugent que les jeunes , ne sont pas aptes mentalement à manifester ! ....
Et , comme c'est pas bon , évidemment , on va revoter ! ....Vive la démocratie , vive la représentation nationale ! Pffffffff !
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Coup de théâtre : le Sénat a rejeté l’article 4 de la réforme des retraites sur les modalités d’allongement de la durée de cotisation jusqu’en 2020 ! Ah… non, c’est un sénateur centriste qui s’est trompé. Pouce. Ça ne compte pas. On revotera.
Le vote – 181 contre et 155 pour – est la conséquence d’une erreur humaine. Celle du sénateur centriste de Mayotte, Adrien Giraud. Il avait les délégations de vote de l'ensemble de son groupe. Il a voté contre. Il fallait voter pour. Dommage. La cause ? Il s’est trompé dans la couleur des bulletins de vote. La fatigue, dit-on au groupe centriste. Une erreur qui a eu pour conséquence le rejet de l’article. L’UMP, qui ne dispose que d’une majorité relative au Sénat, a besoin des voix centristes.
Eric Woerth a expliqué qu'il s'agissait d'une « erreur matérielle ». Le gouvernement demandera une seconde délibération sur l’article. Elle ne pourra intervenir qu'à la fin du texte. De quoi retarder encore un peu plus le vote final du texte, dont l’examen a déjà été prolongé jusqu’à mercredi prochain.
Les centristes ne sont pas à leur première bourde. Le 21 décembre dernier, la majorité avait déjà essuyé un joli couac du même genre. Le texte polémique sur le redécoupage électoral avait été tout simplement supprimé suite à une erreur de vote d’un sénateur. C'était déjà un centriste qui avait commis l'erreur. Un certain Jean-Jacques Pignard.
* source public sénat